Obituaire.
Mon cousin et ami Harley Ithier connu par tous affectueusement comme Mimimche, s’est éteint le mercredi 18 Février 2009. Il avait 92 ans.
Mimiche a étudie l’art dentaire en Inde mais a travaillé à Maurice aux Statistiques. Retraité depuis l’âge de 60 ans quand il s’est marié, il s’était adonné à des travaux de menuiserie. Ses travaux accomplis avec une minutieuse précision avient fait l’admiration de tous. On lui doit entre autres des maquettes de bateau, des coffrets en bois du pays, des mobiliers pour cuisine.
Il a quitté de beaux meubles de facture unique dans toute la famille.
Il s’occupait lui même de son jardin et avait depuis quelques années eu une passion pour l’ordinateur.
Il nous a accompagné, ma femme et moi-même, pendanst les dernières années à Flic en Flac par le bus pour le bain de mer des lundis et vendredis. C’était un homme simple, jovial et courtois, très apprécié des femmes qu’il aimait beaucoup.
Il a présidé beaucoup de fêtes familiales dont la dernière date du 27 décembre dernier jour de mon mon anniversaire de 83 ans.
Il aimait bien marcher à Quatre Bornes dans une tenue toujours impeccable. Très pieux, je l’ai souvent rencontré à la Messe de la paroisse du Saint Rosaire.IL a travaillé volontaireent pour cette paroisse en particulier dans le domaine du mobilier.
Je l’ai aidé à présenter son blog ‘ L’histoire de Harley Ithier’, ou il raconte sa longue vie, peu commune pour la postérité.
Il va beaucouip nous manquer.
S. F
Mon cousin et ami Harley Ithier connu par tous affectueusement comme Mimimche, s’est éteint le mercredi 18 Février 2009. Il avait 92 ans.
Mimiche a étudie l’art dentaire en Inde mais a travaillé à Maurice aux Statistiques. Retraité depuis l’âge de 60 ans quand il s’est marié, il s’était adonné à des travaux de menuiserie. Ses travaux accomplis avec une minutieuse précision avient fait l’admiration de tous. On lui doit entre autres des maquettes de bateau, des coffrets en bois du pays, des mobiliers pour cuisine.
Il a quitté de beaux meubles de facture unique dans toute la famille.
Il s’occupait lui même de son jardin et avait depuis quelques années eu une passion pour l’ordinateur.
Il nous a accompagné, ma femme et moi-même, pendanst les dernières années à Flic en Flac par le bus pour le bain de mer des lundis et vendredis. C’était un homme simple, jovial et courtois, très apprécié des femmes qu’il aimait beaucoup.
Il a présidé beaucoup de fêtes familiales dont la dernière date du 27 décembre dernier jour de mon mon anniversaire de 83 ans.
Il aimait bien marcher à Quatre Bornes dans une tenue toujours impeccable. Très pieux, je l’ai souvent rencontré à la Messe de la paroisse du Saint Rosaire.IL a travaillé volontaireent pour cette paroisse en particulier dans le domaine du mobilier.
Je l’ai aidé à présenter son blog ‘ L’histoire de Harley Ithier’, ou il raconte sa longue vie, peu commune pour la postérité.
Il va beaucouip nous manquer.
S. F
L’histoire de Michel Joseph Harley Ithier.
Introduction.
Je suis né à Rose Hill, Maurice, le 18 mars 1916, la veille de la fête de Saint Joseph.
Je vais raconter quelques épisodes de ma vie y compris les années de guerre passées à Maurice comme en France.
J’ai été pendant plusieurs années dans l’Inde, notamment à Karachi.
J’avais l’intention de me faire dentiste, mais la déclaration de la guerre a tout bouleversé. J’ai été appelé au service obligatoire de l’armée, étant alors sujet britannique. A cette période la Pakistan devenait indépendant sous le leadership de Mohammed Ali Jinnah que l’on appelait le Quaid de Azam.
Après la guerre j’ai travaillé chez la firme KLM Airlines, puis à Air France. Je suis revenu à Maurice en 1950. j’ai eu alors eu une carrière comme fonctionnaire du gouvernement dans le service des statistiques.
J’ai habité à Quatre Bornes depuis ma jeunesse. Mon père Wasley Ithier, docteur es lettres de l’Université de Paris, était enseignant au collège Royal de Curepipe. Ma mère Juditha Daurat, que l’on appelait avec affection, Itha, lui a survécu. Nous étions trois frères et quatre sœurs. Ils m’ont donné le sobriquet de Mimiche.
Parents et amis ne me connaissent que sous ce nom.
Longtemps célibataire, Je me suis marié à ma retraite en 1976 à Stella Paul.
Je remercie le Seigneur pour une santé jusqu’ici robuste et sans faille.
Introduction.
Je suis né à Rose Hill, Maurice, le 18 mars 1916, la veille de la fête de Saint Joseph.
Je vais raconter quelques épisodes de ma vie y compris les années de guerre passées à Maurice comme en France.
J’ai été pendant plusieurs années dans l’Inde, notamment à Karachi.
J’avais l’intention de me faire dentiste, mais la déclaration de la guerre a tout bouleversé. J’ai été appelé au service obligatoire de l’armée, étant alors sujet britannique. A cette période la Pakistan devenait indépendant sous le leadership de Mohammed Ali Jinnah que l’on appelait le Quaid de Azam.
Après la guerre j’ai travaillé chez la firme KLM Airlines, puis à Air France. Je suis revenu à Maurice en 1950. j’ai eu alors eu une carrière comme fonctionnaire du gouvernement dans le service des statistiques.
J’ai habité à Quatre Bornes depuis ma jeunesse. Mon père Wasley Ithier, docteur es lettres de l’Université de Paris, était enseignant au collège Royal de Curepipe. Ma mère Juditha Daurat, que l’on appelait avec affection, Itha, lui a survécu. Nous étions trois frères et quatre sœurs. Ils m’ont donné le sobriquet de Mimiche.
Parents et amis ne me connaissent que sous ce nom.
Longtemps célibataire, Je me suis marié à ma retraite en 1976 à Stella Paul.
Je remercie le Seigneur pour une santé jusqu’ici robuste et sans faille.
Photo familiale Wasley Ithier
Juditha et les enfants. En France
Je suis au bas à droite.
Ma Mère Juditha était renommée pour sa bonne cuisine. Elle faisait aussi de la couture. Elle avait une bassecour et élevat des poules, des dindes et des canards pour approvisionner sa propre table. Je me souviens qu'elle recevait plusieurs amies dont Madame Commarmond veuve qui était nasillarde. En imitant son parlé surtout quand elle disait en arriv=ant 'Itha bien, la famille bien, tout bien je me suis fait tabasser par mon père.
Mon père Wasley Ithier faisait de son côté de la peinture dans ses moments de loisirs. Mon rôle consistait à laver la palette et ses pinceaux Il y avait une immense peinture de son fils Fanfan jouant au violon.
Il avait emmené sa famille à Montpellier
Au retour il avait acheté un campement à Tamarin. Le campement se trouvait dans une place de choix près de la rivière et le bain de Tamarin. Ce site abrite de nos jours un hôtel.
C'est dans ce lagon que j'essayes mes périssoires que je construisait en bois et en toile. Il a vendu ce campement un peu avant mon retour et celui de Fanfan du Pakistan. Il acheta des terrains et des maisons à Quatre Bornes dans l’emplacement du cinéma de Q Bornes. La maison familiale devait plus tard être vendue à un sino mauricien qui a aussi fait l’acquisition de vieux meubles. Un grand vulding est en construction en 2008.
Mon père qui avait pris l’habitude de boire du bon vin à Montpellier avait une cave de vins français. Pour le nouvel an il faisait comme la plupart des familles mauriciennes bouillir la cuisse de jambon entière dans un fer-blanc d’essence vide. Le jambon devait être décoré profusément avec des clous de girofle. La queue était ornée de papier mousseline coloré. Il avait une voix de ténor et chantait à la messe du dimanche en compagnie d'autres mauricuens à l'église N Dame du Rosaire.
Musique.
La musique a fait partie des occupations familiales. Ma sœur Daisy qui était excellente pianiste avait étudié le piano à Montpellier avec l’abbé Pascal qui était l’organiste de la magnifique cathédrale Saint Pierre de Montpellier. Edifiée à la demande du pape Urbain V en 1364, cette cathédrale de toute beauté, se situe à côté de la Faculté de médecine dont elle servait à l'époque de chapelle. Elle abrite le samedi des concerts pour orgue.
La construction de cet édifice est liée à la volonté du pape Urbain V d'honorer la ville où il avait suivi ses études, obtenu le diplôme de Docteur en droit canon et enseigné.
Mon frère Fanfan de son côté étudiait le violon avec Mademoiselle Faulché de Montpellier.
Au retour il avait acheté un campement à Tamarin. Le campement se trouvait dans une place de choix près de la rivière et le bain de Tamarin. Ce site abrite de nos jours un hôtel.
C'est dans ce lagon que j'essayes mes périssoires que je construisait en bois et en toile. Il a vendu ce campement un peu avant mon retour et celui de Fanfan du Pakistan. Il acheta des terrains et des maisons à Quatre Bornes dans l’emplacement du cinéma de Q Bornes. La maison familiale devait plus tard être vendue à un sino mauricien qui a aussi fait l’acquisition de vieux meubles. Un grand vulding est en construction en 2008.
Mon père qui avait pris l’habitude de boire du bon vin à Montpellier avait une cave de vins français. Pour le nouvel an il faisait comme la plupart des familles mauriciennes bouillir la cuisse de jambon entière dans un fer-blanc d’essence vide. Le jambon devait être décoré profusément avec des clous de girofle. La queue était ornée de papier mousseline coloré. Il avait une voix de ténor et chantait à la messe du dimanche en compagnie d'autres mauricuens à l'église N Dame du Rosaire.
Musique.
La musique a fait partie des occupations familiales. Ma sœur Daisy qui était excellente pianiste avait étudié le piano à Montpellier avec l’abbé Pascal qui était l’organiste de la magnifique cathédrale Saint Pierre de Montpellier. Edifiée à la demande du pape Urbain V en 1364, cette cathédrale de toute beauté, se situe à côté de la Faculté de médecine dont elle servait à l'époque de chapelle. Elle abrite le samedi des concerts pour orgue.
La construction de cet édifice est liée à la volonté du pape Urbain V d'honorer la ville où il avait suivi ses études, obtenu le diplôme de Docteur en droit canon et enseigné.
Mon frère Fanfan de son côté étudiait le violon avec Mademoiselle Faulché de Montpellier.
Daisy avait crée Amateur Danse club à Quatre Bornes. Ce club fréquenté par la famille passait de la musique enregistrée pour les fêtes et danses. Plus tard l’ Amateur Dance club, ADC a été crée. Ce club fonctionnait avec des musiciens des familles Ithier, Pouzet Félix, Roblet et Némorin.
Quelques années plus tard Baby Pouzet monta une pièce théâtrale de Gilbert et Sullivan,le Mikado, avec le concours des mêmes personnes mais aussi d’Henry Wilden, ténor. La soprano était Gladys Félix. La pièce a été rejoué quand Fanfan et moi même sont revenus de l'Inde. Lucien Pouzet junior, Lulu et Mazy Félix étaient du nombre des chanteurs. Le maestro Philippe Ohsan qui dirigeait l’orchestre de la Police a offert sa collaboration. Cette pièce a eue un franc succès. Baby monta encorz une autre pièce, Pirates of Penzance. Ces pièces de théâtre ont passé plusieurs fois au Plaza de Rose Hill.
Mes travaux de menuiserie
Jeune encore, je fabriquais des bateaux. Plus tard je me suis mis à faire des modèles de Bateaux. La Normandie a été exécutée dans l'Inde, en 1950 D’autres modèles exécutés à mon retour à Maurice : La Queen Mary, le Cutty Sark, le Bounty; le Victory de l'amiral Nelson. J’ai été dans ce domaine un précurseur car les usines de modèle de bateau comme on en voit à Maurice de nos jours n’existaient point.
Jai exécuté de grands travaux d'ébénisterie, comme des portes,des armoires, des chaises, des vitrines des tables, des lits. Je me souviens d’avoir fabriqué un mobilier complet de cuisine pour la famille Martin.
Quand j’ai eu de l’emploi comme fonctionnaire au service des Statistiques, je me faisais un devoir d’acheter des outils chaque fin de mois.. Parfois je faisais venir de grosses pièces d’Europe, par bateau. C’est donc graduellement que j’ai collectionné tout ce qu’il fallait pour un atelier de professionnel. Ces outils m’ont permis pratiquement de tout faire en menuiserie. Des étagères, des cadres, des tables et buffet de toutes dimensions. Récemment, j’ai aidé mon cousin Sténio pour monter une tente sous tuyaux métalliques et bois qu’il avait nommé Caravelle. De bonnes dimensions, il convenait parfaitement pour l’organisation des festins avec de grandes tables.
La menuiserie a donc été une occupation permanente hors de mon travail habituel. J’ai accompli plusieurs travaux pour des firmes et j’ai reçu plusieurs commandes de particuliers. J’ai aussi offert ma collaboration et mon expertise à des parents pour des déménagements, de Quatre Bornes, Beau Bassin, Albion,Flic en Flac et Rivière Noire.
J’ai laissé ma trace un peu partout !
Quelques années plus tard Baby Pouzet monta une pièce théâtrale de Gilbert et Sullivan,le Mikado, avec le concours des mêmes personnes mais aussi d’Henry Wilden, ténor. La soprano était Gladys Félix. La pièce a été rejoué quand Fanfan et moi même sont revenus de l'Inde. Lucien Pouzet junior, Lulu et Mazy Félix étaient du nombre des chanteurs. Le maestro Philippe Ohsan qui dirigeait l’orchestre de la Police a offert sa collaboration. Cette pièce a eue un franc succès. Baby monta encorz une autre pièce, Pirates of Penzance. Ces pièces de théâtre ont passé plusieurs fois au Plaza de Rose Hill.
Mes travaux de menuiserie
Jeune encore, je fabriquais des bateaux. Plus tard je me suis mis à faire des modèles de Bateaux. La Normandie a été exécutée dans l'Inde, en 1950 D’autres modèles exécutés à mon retour à Maurice : La Queen Mary, le Cutty Sark, le Bounty; le Victory de l'amiral Nelson. J’ai été dans ce domaine un précurseur car les usines de modèle de bateau comme on en voit à Maurice de nos jours n’existaient point.
Jai exécuté de grands travaux d'ébénisterie, comme des portes,des armoires, des chaises, des vitrines des tables, des lits. Je me souviens d’avoir fabriqué un mobilier complet de cuisine pour la famille Martin.
Quand j’ai eu de l’emploi comme fonctionnaire au service des Statistiques, je me faisais un devoir d’acheter des outils chaque fin de mois.. Parfois je faisais venir de grosses pièces d’Europe, par bateau. C’est donc graduellement que j’ai collectionné tout ce qu’il fallait pour un atelier de professionnel. Ces outils m’ont permis pratiquement de tout faire en menuiserie. Des étagères, des cadres, des tables et buffet de toutes dimensions. Récemment, j’ai aidé mon cousin Sténio pour monter une tente sous tuyaux métalliques et bois qu’il avait nommé Caravelle. De bonnes dimensions, il convenait parfaitement pour l’organisation des festins avec de grandes tables.
La menuiserie a donc été une occupation permanente hors de mon travail habituel. J’ai accompli plusieurs travaux pour des firmes et j’ai reçu plusieurs commandes de particuliers. J’ai aussi offert ma collaboration et mon expertise à des parents pour des déménagements, de Quatre Bornes, Beau Bassin, Albion,Flic en Flac et Rivière Noire.
J’ai laissé ma trace un peu partout !
Mes meubles était solides et je je prenais méthodiquement l’habitude de faire du travail soigné. Jean, le jeune fils de mon cousin avait trouvé qu’il fallait appeler mes travaux des Mimiches. C'est-à-dire des meubles permanents d’une solidité à toute épreuve.Tiut dernièrement je lui ai fabriqué une table de tennis de table.
Généalogie de la famille Ithier.
Les notes sur Elie Ithier nous viennent des documents de mon frère France Ithier; Frnçou qui est mort à Orpington en Angleterre
Elie Ithier. français né en 1874 épouse Marguerite ? Ses armoiries laisse devenir une origine noble.
Pendant la révolution. Il se déguise pour aller à Marseilles. Il prend le bateau d'Afrique qui l'emmène à Cape Town. Puis il se rend à Fort Dauphin à Madagascar . Il offre ses services à la marine comme armurier.
En 1801; Margot donne naissanceà un fils, Marc à la caserne En 1805 Elie étant devenuu expert armurier a un autre fils Jean Pierre; On lui donne une promotion pour se rendre à l'île de France pour aider à la défense de l'île contre les anglais. En 1818, un autre fils Michel est né.
En septemnre 1810, il a le bonheur de voir la flotte anglaise détruite à la bataille de Grand Port. Peu après, Il était caserné quand il apprit que l'armée avait été vaincue dans le nord par des envahisseurs anglais Les anglais changèrent le nom de l'ile de France en Mauritius.
Ils ont eu trois ans pour décider de prndre la nationalité britannique ou de retourner en France. Il avait alors 37 ans, sa femme Margot 35 et Marc 10 ans.
Ils décidèrent de rester à Maurice. On lui octroya une portion de terre à l'est de l'île pour construire sa maison . Margot s'ocupant d'élever ses enfants avait des esclaves pour l'aider.
En 1820, un esclave lui apporta une lettre scellée. La lettre de Charles le Mannec un collègue qui avait aussi pris part au combat de Grand Port. Venant de Lorient il avait pris possession d'une ferme à la Nicolière et avait semble-t-il un problème Sa femme s'appelait Laurence et sa fille Marianne. Elie et Margot se rendirent à la Nicolière avec Margot et l'esclave. La ferme qui produisait des légumes et des volailles était florissante.
Charles expliqua à Elie qu'il détestait les anglais mais que sa fille avait donné refuge à un soldat anglais. C'était un irnadais qui disait qu'il n'aimait pas lui aussi les anglais. Les Le Manneck penasient qu'Elie avec ses relations, pouvait les aider à résoudre le problème du soldat déserteur L'Irlandais s'appelait Sean Dellanoy
La famille l'avait appelé Jean et avait décidé de le cacher des autorités. Elie fit de son côté des recherches et et trouva que l'on ne recherchait pas de déserteur. Il réussit de convaincre le mâitre du port de certifier que Delannoy était venu récemment par bateau de de Madagascar
Les enfants de Elie et Margo se sont mariès les années suivantes Elie est mort en 1839. Il s'est étrait dans un fauteuil sous la véranda. Il est entérré au cimentoère de Pamplemousses; à 65 an
3 Enfants
a Marc Ithier
b. Jean Pierre
c Michel épouse Fanny Thomas dont le frère était l'administrateur de l'usine de Pamplemousses.
Enfants
a. Georges Ithier né en 1834 épouse Lanne et émigre en Australie.
b. Taunod Ithier né en 1837
b. Taunod Ithier né en 1837
c Jean Ithier
d. Doriste Ithier ; S'est établi à Rodrigues avec de nombreux enfants. Il avait épousé une française. Il devint planteur de tabac.
e Marie Lodoiska épouse Leonidas Daurat
9 enfants Darius qui se marie dux fois
f Anne
g Juditha
h Hélène Morte jeune
i Adrienne épouse Julius François. A la mort d'Adrienne il épousa la jeune soeur Alysia/
j Christina épouse Maurice Picot
K René A epousé Isabelle Rayeroux. Ils ont vécu à Madagascar
l Emma
m Arthémidor
n Clothide
g Eugène
h Léopold en 1850
Arthemidor Ithier. Administrateur de Riv.du Rempart S.E. épouse Alcide Auguste.Change son nom de I à Y
b Edmond Ythier. Epouse François(Changement de nom en Y)
3 enfants ; René, Edwin, Henryc Clothilde Ithier
d Eugène Ithier
e Lodoiska Ithierf Henri Léopold Ithier
Henri Léopold Ithier. (1850-1892)épouse Claire Isabelle Emilia Thomas.5 enfants :
a Isabelle Ithier. 1 Epouse Clam. 2 Epouse Léon Félix. Pas d’enfant.
d Eugène Ithier
e Lodoiska Ithierf Henri Léopold Ithier
Henri Léopold Ithier. (1850-1892)épouse Claire Isabelle Emilia Thomas.5 enfants :
a Isabelle Ithier. 1 Epouse Clam. 2 Epouse Léon Félix. Pas d’enfant.
b Wasley Ithier. Epouse Juditha Daurat.
c Julie Silvia Ithier.Epouse Xavier Moutia.
d. Michel Frank Ithier. Epouse Adèle Béatrice Montezuma.
e. Fleurange Ithier. Epouse Maxime Félix. b Wasley Ithier. Epouse Juditha Daurat.
Enfants
d. Michel Frank Ithier. Epouse Adèle Béatrice Montezuma.
e. Fleurange Ithier. Epouse Maxime Félix. b Wasley Ithier. Epouse Juditha Daurat.
Enfants
A. Daisy. Epouse Lucien Pouzet.
B. Gisèle Epouse Joseph Julie
C. Wasley (Fanfan)
D. Harley. (Mimiche)
E. Paulette.
F. France (Françou)
G. Solange
A. Daisy et Lucien Pouzet.
Enfants
1. Hervé Epouse Nicole Plassan Etablis à la Réunion
5 enfants : Philippe, Gilbert, Patricia, maurice et Caroline.
2. Georgie. Epouse Marceline Hitié. Etablis à la Réunion
4 enfants : Jean Michel, Joel, Catherine, Virginie.
3. Lucien.(Lulu) Epouse Margaret Wilden. Etablis en Australie
1 enfant : Martine
4. Daisy. (Fidou). Epouse Roger Tranquille.
3 enfants Alain, Maryse, Dominique
5. Monique. Epouse Jean Coeurrier Etablis en Australie
1 enfant : Patrick.
6 Marie Rose. Epouse Henry Wilden. Etablis en Australie
4 enfants : Cindy, Marjorie, Doris, Henry.
7. Guy. Epouse Eda Laboulay. Etablis en Australie
2 enfants ! Eric, Bruneau
8. Mario. Epouse Sylvaine Guillot. Etablis en Australie
3 enfants : Pascal, Stéphanie, Natasha
9. Annie. Epouse Clency Stanley. Etablis en Australie
2 enfants : Françoise, Paul.
B. Gisèle Epouse Joseph Julie.
Pas d’enfant.
C. Lewis Wasley (Fanfan) Epouse Gertrude Graham. Etablis en Australie
5 enfants
1. Kathleen Epouse Charles St Guillaume
2 enfants Marc, Adam.
2. Chantal Epouse Joh, Adamezac
2 enfants : Shane ; Michael.
3. Valerie. épouse Lary Glossop.
2 enfants Justin, Josuah.
4. Christine Epouse Brad Richards
2 enfants Mitchell, Emma.
5. Steven Epouse Mamie ?
2 enfants Hannah, Joel
D. Harley. (Mimiche) Epouse Stella Paule. Pas d’enfant
E. Paulette. Epouse Jim Clark
F. France (Françou).Epouse Jacqueline Kalle. Etablie en Angleterre.
2 enfants Philippe, Claire
G. Solange Epouse M Mauve. Etablie au Canada
2 enfants Lifa Judy
c Julie Silvia Ithier. Epouse Xavier Moutia. Sylvia, Simone, Mary ( Mortes en Inde. )
d. Michel Frank Ithier épouse Marie Adèle Béatrice Montezuma
11 enfants.
1. Willy marié à Louise: décédé
B. Gisèle Epouse Joseph Julie
C. Wasley (Fanfan)
D. Harley. (Mimiche)
E. Paulette.
F. France (Françou)
G. Solange
A. Daisy et Lucien Pouzet.
Enfants
1. Hervé Epouse Nicole Plassan Etablis à la Réunion
5 enfants : Philippe, Gilbert, Patricia, maurice et Caroline.
2. Georgie. Epouse Marceline Hitié. Etablis à la Réunion
4 enfants : Jean Michel, Joel, Catherine, Virginie.
3. Lucien.(Lulu) Epouse Margaret Wilden. Etablis en Australie
1 enfant : Martine
4. Daisy. (Fidou). Epouse Roger Tranquille.
3 enfants Alain, Maryse, Dominique
5. Monique. Epouse Jean Coeurrier Etablis en Australie
1 enfant : Patrick.
6 Marie Rose. Epouse Henry Wilden. Etablis en Australie
4 enfants : Cindy, Marjorie, Doris, Henry.
7. Guy. Epouse Eda Laboulay. Etablis en Australie
2 enfants ! Eric, Bruneau
8. Mario. Epouse Sylvaine Guillot. Etablis en Australie
3 enfants : Pascal, Stéphanie, Natasha
9. Annie. Epouse Clency Stanley. Etablis en Australie
2 enfants : Françoise, Paul.
B. Gisèle Epouse Joseph Julie.
Pas d’enfant.
C. Lewis Wasley (Fanfan) Epouse Gertrude Graham. Etablis en Australie
5 enfants
1. Kathleen Epouse Charles St Guillaume
2 enfants Marc, Adam.
2. Chantal Epouse Joh, Adamezac
2 enfants : Shane ; Michael.
3. Valerie. épouse Lary Glossop.
2 enfants Justin, Josuah.
4. Christine Epouse Brad Richards
2 enfants Mitchell, Emma.
5. Steven Epouse Mamie ?
2 enfants Hannah, Joel
D. Harley. (Mimiche) Epouse Stella Paule. Pas d’enfant
E. Paulette. Epouse Jim Clark
F. France (Françou).Epouse Jacqueline Kalle. Etablie en Angleterre.
2 enfants Philippe, Claire
G. Solange Epouse M Mauve. Etablie au Canada
2 enfants Lifa Judy
c Julie Silvia Ithier. Epouse Xavier Moutia. Sylvia, Simone, Mary ( Mortes en Inde. )
d. Michel Frank Ithier épouse Marie Adèle Béatrice Montezuma
11 enfants.
1. Willy marié à Louise: décédé
2. Serge épouse Denise Maniacara
2 enfants
3. Guy épouse VenusDeux enfants Alexander et Daniel4. Wasley Epouse Darla Nursoo
2 Enfants Adam et Ben .
Serge Guy et Wasley, établis en Angleterre.
Serge Guy et Wasley, établis en Angleterre.
5. Agnès. Mariée à Mylius Louise.
5 enfants : Harry, Eileen, Philippe. Lorraine et Fleurange.
6 Léon Alwin John, marié à Jeanne Anne Marie Casseputhee:
2 enfantsMarie Noël Jean établi au Canada marié Epouse Marie Mauricette Rose. Il vient souvent à Maurice. 2002 et 2006
2 enfants Irwin et IannIann marié à Jennifer Ah-Nien Une fille Megan Angie.
7. Mauricette Jacqueline Ithier épouse Louis Karl Dulaurent3 enfants Dimitri, Karine, Yohann
8. Mary épouse Henry SlaterTrois filles Jessie , Lise, Maisie , en France.
9. Frank Xavier Epouse Judith Grenade
10 Désiré épouse Marie Claire Wright
4 enfants Brian, Kevin et ChintiaLanda
Jeannine épouse ?
3 enfants. Sylvio épouse Marlette Benoit.Clyde épouse Jenny Poivinet Clarel.
11 . Georges épouse Elsie LanappeCinq enfants Stella, Sandra, Kelly, Angelia et Elsa.e. Marie
Jessy Fleurange Ithier. Epouse Pierre Barnabé Maxime Félix.
7 enfants
a. Jenny Félix. Epouse Léon Julien Etable en Australie
b. Maud Félix. Epouse Max Melotte. Etablie en Nouvelle Zénande
c. Max Félix. Epouse Marie Thérèse Guimber. Etablie en France d. Lily Félix. Epouse Marcel Poisson.
e. Sténio Félix. Epouse Denise Crouche.
f. Maisie Félix. Epouse C.Bancilhon. (établi en Nouvelle Zélande)
g. Gladys Félix épouse Ludovic Collet. Etabli en France
a. Jenny Epouse Léon Julien
2 enfants : Lysel, Rosemay.
b. Maud Epouse Max Melotte
Pas d »enfant.
c. Max Epouse Mathé
3 enfants Mick, Dany, Gérard.
d. Lily Epouse Marcel Poisson
4 enfants ; Gilbert, Danielle,Michelle, Jean Marc.
e. Sténio. Epouse Denise Crouche.
4 enfants :Marie France, Jacqueline, Jean, Nicole.
f. Mazy epouse Clair Bancilhon
4 enfants :Dominique, Pascale ; Noel.
G. Gladys Epouse
1 enfant : Jean François.
7 enfants
a. Jenny Félix. Epouse Léon Julien Etable en Australie
b. Maud Félix. Epouse Max Melotte. Etablie en Nouvelle Zénande
c. Max Félix. Epouse Marie Thérèse Guimber. Etablie en France d. Lily Félix. Epouse Marcel Poisson.
e. Sténio Félix. Epouse Denise Crouche.
f. Maisie Félix. Epouse C.Bancilhon. (établi en Nouvelle Zélande)
g. Gladys Félix épouse Ludovic Collet. Etabli en France
a. Jenny Epouse Léon Julien
2 enfants : Lysel, Rosemay.
b. Maud Epouse Max Melotte
Pas d »enfant.
c. Max Epouse Mathé
3 enfants Mick, Dany, Gérard.
d. Lily Epouse Marcel Poisson
4 enfants ; Gilbert, Danielle,Michelle, Jean Marc.
e. Sténio. Epouse Denise Crouche.
4 enfants :Marie France, Jacqueline, Jean, Nicole.
f. Mazy epouse Clair Bancilhon
4 enfants :Dominique, Pascale ; Noel.
G. Gladys Epouse
1 enfant : Jean François.
Mon enfance.
Je suis né à Rose-Hill le 18 Mars 1916, déclaré le 8 Juillet 1916.
Après la guerre 1914-18 la famille partit pour la France en 1921.
On habitait à Montpellier dans l'Hérault. C’est là que maman donna naissance à mon petit frère Jean-René France aussi appelé Françou le 16 avril 1921. Fanfan mon frère aîné et moi même nous allions au Lycée Condorect. J'étais en cours préparatoire, j'avais cinq ans. Après quelques années passées en France, la famille décida de retourner au pays.
En France les deux grandes soeurs Daisy et Gisèle prenaient des leçons de piano avec l'abbé Pascal, organiste de la cathédrale Saint Pierre, tandis que Fanfan de son côté apprenait la musique, le solfège et le violon.
A Maurice, tous les enfants Daisy, Gisèle, Fanfan, Paulette et moi même, nous étions élèves au couvent de Lorette de Quatre Bornes. Après le couvent, j'ai continué mes études chez Mlle Céline Leconte à Curepipe Road et ensuite au collège Royal de Curepipe où papa, docteur es lettres, enseignait le Français et les mathématiques. J’ai fait toutes mes études secondaires au Collège Royal de Curepipe. Et j’ai obtenu la ‘School Certificate’ de Cambridge.
Il faut dire ici que mon père avait une renommée assez spéciale au collège Royal, issue en grande partie à son caractère. C’était un homme au visage sérieux. Il parlait même avec un air grave et on n’avait pas intérêt à le prendre autrement que professeur comme son statut l’avait désigné. Il avait un tic qui le faisait bruyamment siffler entre les dents en respirant fortement.
Il avait pourtant un humour cassant. Il avait des répliques qui soulignaient son esprit prompt et intelligent.
Je suis né à Rose-Hill le 18 Mars 1916, déclaré le 8 Juillet 1916.
Après la guerre 1914-18 la famille partit pour la France en 1921.
On habitait à Montpellier dans l'Hérault. C’est là que maman donna naissance à mon petit frère Jean-René France aussi appelé Françou le 16 avril 1921. Fanfan mon frère aîné et moi même nous allions au Lycée Condorect. J'étais en cours préparatoire, j'avais cinq ans. Après quelques années passées en France, la famille décida de retourner au pays.
En France les deux grandes soeurs Daisy et Gisèle prenaient des leçons de piano avec l'abbé Pascal, organiste de la cathédrale Saint Pierre, tandis que Fanfan de son côté apprenait la musique, le solfège et le violon.
A Maurice, tous les enfants Daisy, Gisèle, Fanfan, Paulette et moi même, nous étions élèves au couvent de Lorette de Quatre Bornes. Après le couvent, j'ai continué mes études chez Mlle Céline Leconte à Curepipe Road et ensuite au collège Royal de Curepipe où papa, docteur es lettres, enseignait le Français et les mathématiques. J’ai fait toutes mes études secondaires au Collège Royal de Curepipe. Et j’ai obtenu la ‘School Certificate’ de Cambridge.
Il faut dire ici que mon père avait une renommée assez spéciale au collège Royal, issue en grande partie à son caractère. C’était un homme au visage sérieux. Il parlait même avec un air grave et on n’avait pas intérêt à le prendre autrement que professeur comme son statut l’avait désigné. Il avait un tic qui le faisait bruyamment siffler entre les dents en respirant fortement.
Il avait pourtant un humour cassant. Il avait des répliques qui soulignaient son esprit prompt et intelligent.
Le père Wasley enseignait le français, mais aussi les mathématiques. Il avait présenté à ses élèves des notes sur les triangles concentriques quand il s’aperçut qu’un des élèves ne le suivait nullement et parlait à un ami. Il appela le fautif et lui demande d’expliquer aux autres élèves de quoi il parlait. Le garçon un peu loustic comme on dit se mit à écrire sur le tableau noir. en disant : Little line on big line. Small angle on big angle.Small triangle on big triangle. Les autres élèves s’étant mis à rire, le père Wasley dit à l’élàve plein de loufoquerie. Retourne à ta place! Il prit sa plume en disant
Little pen writes in big book, little boy goes in big arrest room . Il avait eu le dernier mot.
Une autre fois des élèves et professeurs sont venus lui raconter que l’élève Pha, un costaud, avait, dans un bagarre frappé un autre élève qui avait perdu connaissance et gisait à terre.
Il se rendit sur le lieu de la bagarre, vit un garçon allongé au sol et qui se remuait péniblement et lâcha : Fa La Mi Re Do Sol. ‘Pha l’a mis raide au sol’ Vif le bonhomme !.
Little pen writes in big book, little boy goes in big arrest room . Il avait eu le dernier mot.
Une autre fois des élèves et professeurs sont venus lui raconter que l’élève Pha, un costaud, avait, dans un bagarre frappé un autre élève qui avait perdu connaissance et gisait à terre.
Il se rendit sur le lieu de la bagarre, vit un garçon allongé au sol et qui se remuait péniblement et lâcha : Fa La Mi Re Do Sol. ‘Pha l’a mis raide au sol’ Vif le bonhomme !.
En famille, il gardait sa réserve. Il recevait volontiers les familles de ses sœurs ; mais très souvent, il promenait seul sous sa varangue pendant que sa femme conversait avec ses invités. Je me souviens que le dernier fils de ma tante Fleurange était un petit, assez mal ‘fagoté’. Quand mon père croisait ce frèle petit bonhomme sous la varangue il le toisait comme si c’était un insecte
Fanfan prenait des leçons de violon de Mr Guého et plus tard j'ai suivi son exemple. Mon grand frère était très bon musicien. Quant à moi j'étais plutôt ‘violoneux’ que violoniste.
Mon oncle Xavier qui avait épousé tante Julie était à Maurice pour un court séjour. A leur départ pour Karachi en Inde la famille, papa, maman, Gisèle, Fanfan et moi même sommes partis ensemble. Nous avons voyagé par paquebot du Mogul Line pour nous rendre à Karachi via Bombay. Le Pakistan n’exixtait pas encore et l’Inde était unr colonie britannique.
Fanfan eut son premier emploi chez Ralli Bros à Karachi. J'avais pour ma part choisi l'art dentaire comme futur métier. J’ai donc commencé des études à Karachi au ‘Vienna School of Dentistry’ sous la direction du Dr. Sada Rangani. A la fin de d’avril 1940, j'obtenais mon diplôme de ‘Licentiate of Dental Science’ de l'école.
Ma carrière comme futur dentiste a hélas du être interrompue et différée, car la guerre en Asie du Sud Est avait été déclarée contre les Japonais. Par ailleurs la deuxième guerre mondiale battait son plein.
Etant sujet britannique, J’ai été enrolé dans ‘L’Emegency Commission, 14th Army’
Fanfan prenait des leçons de violon de Mr Guého et plus tard j'ai suivi son exemple. Mon grand frère était très bon musicien. Quant à moi j'étais plutôt ‘violoneux’ que violoniste.
Mon oncle Xavier qui avait épousé tante Julie était à Maurice pour un court séjour. A leur départ pour Karachi en Inde la famille, papa, maman, Gisèle, Fanfan et moi même sommes partis ensemble. Nous avons voyagé par paquebot du Mogul Line pour nous rendre à Karachi via Bombay. Le Pakistan n’exixtait pas encore et l’Inde était unr colonie britannique.
Fanfan eut son premier emploi chez Ralli Bros à Karachi. J'avais pour ma part choisi l'art dentaire comme futur métier. J’ai donc commencé des études à Karachi au ‘Vienna School of Dentistry’ sous la direction du Dr. Sada Rangani. A la fin de d’avril 1940, j'obtenais mon diplôme de ‘Licentiate of Dental Science’ de l'école.
Ma carrière comme futur dentiste a hélas du être interrompue et différée, car la guerre en Asie du Sud Est avait été déclarée contre les Japonais. Par ailleurs la deuxième guerre mondiale battait son plein.
Etant sujet britannique, J’ai été enrolé dans ‘L’Emegency Commission, 14th Army’
Voici les détails de mes états de service, dans la compagnie de Birmanie, ‘South East Asia Command’
1 Lieutenant Harley Ithier. Emergency commission posted from karachi Consorship Dept to Rawalpindi.2. Transféré à 36 Field Cebson, North west army
3. Deputy assistant Censor N W Army posté à 27 fld Censor Knit
4. Promu comme Lieutenant.
5. Je reçois ma liste des équipements pour le service sur le terrain.
6. Décoration : Le Lieutenant H. Ithier est octroyé ‘L’étoile 1939-1948’
7. Nommé Capitaine par intérim.
8. Je suis promu, officier en charge de la ‘112 British Field censor section.’
9. Décoration : Octroyé le ‘Burma Star’
10. Je suis transféré à Colombo, Ceylan
11. J’ai l’autorisation de servir comme Capitaine par intérim de ‘Allied land Forces South East Asia Command.’
12. Je suis promu ‘2nd in command 5 MRC’
13. Mon congé de guerre est approuvé.
14. On me retient à New Delhi pour service militaire.
15. Démobilisation : Je suis aurorisé de quitter l’armée, dans la dernière unité de’ Intelligence school Karachi.’
16. Je reçois la letter du War Office, White Hall London
3. Deputy assistant Censor N W Army posté à 27 fld Censor Knit
4. Promu comme Lieutenant.
5. Je reçois ma liste des équipements pour le service sur le terrain.
6. Décoration : Le Lieutenant H. Ithier est octroyé ‘L’étoile 1939-1948’
7. Nommé Capitaine par intérim.
8. Je suis promu, officier en charge de la ‘112 British Field censor section.’
9. Décoration : Octroyé le ‘Burma Star’
10. Je suis transféré à Colombo, Ceylan
11. J’ai l’autorisation de servir comme Capitaine par intérim de ‘Allied land Forces South East Asia Command.’
12. Je suis promu ‘2nd in command 5 MRC’
13. Mon congé de guerre est approuvé.
14. On me retient à New Delhi pour service militaire.
15. Démobilisation : Je suis aurorisé de quitter l’armée, dans la dernière unité de’ Intelligence school Karachi.’
16. Je reçois la letter du War Office, White Hall London
Overseas service India/Burma from 23.4.42 to 12.02.47.
Capt J.H. Ithier.
112 British Fd Censor Section.
Now, that the war is over, and the majority of those who have intelligence experience are leaving the service I am anxious to ensure that the foundations are laid for a smooth and efficient expansion of Military Intelligence organisations should the situation ever require it.
In our expansion for this war the chief difficulty was to find qualified recruits. We shall experience the same difficulty again unless we maintain contact in peace with organisations in civil life which include personnel with the qualifications needed for Intelligence work in war. How this can best be done cannot be settled until the structure of the post-war Army is decided; but whatever measures are instituted it is certain that we shall need your help.
Large numbers of you will be returning to take up careers in Schools, Universities and business firms with overseas connections.
Here you will have passing through your hands the material from which future Intelligence officers and other ranks will be drawn.
If you will watch for promising men, and pass on their names to us (address your letters to War Office,( M.I.I.) it will help to ensure that they are considered for training in Intelligence work during their active and/or reserve service.
Many of you may feel that you can spare some time to keep as up-to-date as possible in the work you have been doing.
We hope to arrange for a short refresher courses and attachments for such volunteers.
We do not yet know to what extent service in the Reserve will be obligatory, nor for what period, but it is hoped that all who can will voluntarily continue on the reserve until they reach the maximum age limit.
Director of Military Intelligence.
6 Jan 1946.
Capt J.H. Ithier.
112 British Fd Censor Section.
Now, that the war is over, and the majority of those who have intelligence experience are leaving the service I am anxious to ensure that the foundations are laid for a smooth and efficient expansion of Military Intelligence organisations should the situation ever require it.
In our expansion for this war the chief difficulty was to find qualified recruits. We shall experience the same difficulty again unless we maintain contact in peace with organisations in civil life which include personnel with the qualifications needed for Intelligence work in war. How this can best be done cannot be settled until the structure of the post-war Army is decided; but whatever measures are instituted it is certain that we shall need your help.
Large numbers of you will be returning to take up careers in Schools, Universities and business firms with overseas connections.
Here you will have passing through your hands the material from which future Intelligence officers and other ranks will be drawn.
If you will watch for promising men, and pass on their names to us (address your letters to War Office,( M.I.I.) it will help to ensure that they are considered for training in Intelligence work during their active and/or reserve service.
Many of you may feel that you can spare some time to keep as up-to-date as possible in the work you have been doing.
We hope to arrange for a short refresher courses and attachments for such volunteers.
We do not yet know to what extent service in the Reserve will be obligatory, nor for what period, but it is hoped that all who can will voluntarily continue on the reserve until they reach the maximum age limit.
Director of Military Intelligence.
6 Jan 1946.
A Karachi; il y avait une vie sociale n et j'ai connu beaucoup d'amisais aussi une pléthore de filles anglaises. Pour moi, elles étaient toutes belles et alléchantes. De toutes les filles que j'ai alors connu... ma préférée était Ilkan malheureusemeny ses parents ont été transférés ailleurs à Dehra Dun. Je ne l'ai plus revu. C'était pour moi la fin d'une 1dylle merveilleuse. Oendant la guerre j'étais en congé à Calcutta quand un collegue mlitaire m'avait invité pour fêter la Noel chez la famille DeLa Nougerède ay lieu de me morfondre à l'hôtel.
Pendant la fête, j'ai fait la connaisance de la famille et j'ai même joué du Saxo pour animer la fête. Cest dans cette ambiance que j'ai rencontré Berta, la soeur d"Alice de La Nougerede. Berta et Aline sont mainenant en Angleterre .On est restés amies jusqu'a ce jour et Berha est la seule fille que j'ai connu en Inde qui correspond toujours avec moi.
4 commentaires:
Je me régale à lire le nouveau blog de mimiche, super j'attends la suite avec impatience
Bises de Nicole
palpitante l'histoire de Mimiche
très intéressant de connaître cette partie de notre histoire
a bientôt pour la suite
Bonjour,
En recherche de notes biographiques sur ma famille je suis tombée sur votre blog d'où j'ai extrait des informations sur la famille POUZET dont je descends. Je suis preneur d'autres infos si vous en avez. Merci d'avance.
Bianca MARION (fille de Raymond MARION et de Lily ROBLET, elle-même fille de Lia POUZET et d'Alexandre ROBLET)
Enregistrer un commentaire